«Depuis notre entrée dans la région de Matam, notre cortège subit mille et une tracasseries», a publié Khalifa Sall sur Facebook. «Nous sommes suivis, intimidés, bloqués pour des motifs qui ne font pas honneur à l’élégance républicaine», fulmine-t-il.
Le leader de Taxawu, déclare que ces actes ont commencé à Fatick, et se poursuivent à présent au Fouta. Et pour lui, une compétition politique devrait «donner lieu à un beau débat démocratique entre les différents postulants, souverainement arbitré par le peuple.»
Et la démocratie, souligne-t-il, demande de la hauteur, de l’élégance et du sens du dépassement.